Euthanazie – NAZI 1er/CALIGULA-bis s’inféode officiellement au totalitarisme ultranazi [Aktion T4/14f13 (génocide au Rivotril et par interdictions de soins) + SS de Dachau (assistance au suicide) + SA (vigiles des hôpitaux) + interdiction du travail des Juifs (suspendus) + Gestapo (125 éborgnés) + 13e 21e 23e divisions SS (milices Interahamwe version « Hitler châtiment divin des Juifs ») + SS Dirlewanger (viols de l’hôpital de Varsovie) + pédocriminalité + interdiction de la clause de conscience + Rwanda-bis en phase 1990-1994 amorcé au quotidien] maçonnique, violeur de masse de l’article 3 de la constitution, pour dupliquer Aktion T4, racine et coeur de la SHOAH, dont les 2 chefs ont été pendus à Nuremberg. L’Entreprise Criminelle Commune de génocide nazi ne peut s’exonérer elle-même en jouant sur les mots. Le BENELUX et le Canada (une « médecin » de Vancouver a déjà tué plus de 400 personnes) tracent la dérive déjà vécue pour l’avortement et la GPA. Plus la franc-maçonnerie exacerbe son oeuvre de mort plus elle prouve qu’elle est le bras séculier du satanisme tête de sa pyramide cooptative filtrante opaque violeuse de sa propre devise Liberté (serment d’obéissance) Egalité (audit subreptice de départ du potentiel maçonnique par un très haut-gradé) Fraternité (assassinat de Baroin et de sa fille par ses frères) : « Les loges maçonniques, qui réclament une libéralisation de l’aide à mourir depuis de longues années, entendent peser sur les débats à venir malgré des nuances entre les obédiences. Cette loi, Emmanuel Macron la leur a promise. C’était le 8 novembre dernier : pour la première fois, le chef de l’État se rendait rue Cadet à l’hôtel du Grand Orient de France, pour les 250 ans de la plus ancienne obédience maçonnique du pays. Le «droit à mourir dans la dignité» allait bientôt faire l’objet d’une «loi de liberté et de respect», a-t-il assuré au cours du long discours prononcé sous le buste proéminent d’une gigantesque Marianne, dans cet auditorium aux allures d’église républicaine.Le président de la République a salué devant son auditoire la mémoire de deux grands maçons notoirement engagés en faveur de l’euthanasie, Pierre Simon et Henri Caillavet. Ce dernier avait déposé une première proposition de loi relative au «droit de vivre sa mort» en 1978 : il aura fallu près de cinquante ans pour qu’un gouvernement soumette un texte aux parlementaires – c’est long, mais pour le grand maître du Grand Orient de France, Guillaume Trichard, ce projet de loi est «un soulagement»… » Source Le Figaro ci-dessous :
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